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Changement inattendu

Alors que nous revenions d’un voyage d’une semaine au Brésil, mon mari et moi avons reçu un texto inattendu. Le secrétaire des finances de notre église nous annonçait que nous avions reçu une lettre certifiée de la commission scolaire de notre comté. Nous avons implanté une église qui se réunit dans un lycée ; nous savions donc que la lettre concernait notre contrat de location. Chaque dimanche depuis plus d’un an, cette école a été le foyer de notre famille spirituelle. Notre découragement s’est aggravé lorsque nous avons lu la lettre : le conseil n’allait pas renouveler notre bail à la fin de l’année, soit dans trois mois.

Tendre l’oreille à Dieu

Mon jeune fils se plaît à entendre ma voix, sauf quand je l’appelle par son nom d’une voix forte et dure, avant de lui demander : « Où es‑tu ? » En tel cas, je suis généralement en train de le chercher parce qu’il a mal agi et qu’il essaie d’échapper à sa punition. Or, je tiens à ce que mon fils écoute ma voix parce qu’il sait que je veux son bien et non lui causer du tort.

La source de joie

Sur une échelle de 1 à 10, où se situerait votre niveau de joie ?

La joie pour tous

Le dernier jour d’un congrès du monde de l’édition chrétienne se tenant à Singapour, 280 participants provenant de 50 pays différents se sont réunis sur la place extérieure d’un hôtel pour une photo de groupe. Juché sur un balcon du premier étage, le photographe nous a pris en photo sous divers angles avant de finir par déclarer : « C’est fait. » Une voix dans la foule a alors crié de soulagement : « Well, Joy to the world ! » (Alors monde, réjouis‑toi !) Immédiatement, quelqu’un a enchaîné en chantant : « The Lord is come » (Le Seigneur est venu). D’autres se sont joints à eux, et tout le groupe a vite entonné ce cantique bien connu dans une merveilleuse harmonie. Je n’oublierai jamais cette scène émouvante d’unité et de joie.

Répandre la joie

Lorsque Janet est allée enseigner l’anglais dans une école outre‑mer, elle y a trouvé l’atmosphère sombre et déprimante. Les gens faisaient leur travail, mais personne ne semblait heureux. Ils ne s’entraidaient ni ne s’encourageaient. Reconnaissante de tout ce que Dieu avait fait pour elle, Janet exprimait sa gratitude dans tout ce qu’elle accomplissait. Elle souriait. Elle était amicale. Elle se démenait pour venir en aide aux gens. Elle fredonnait des chansons et des cantiques.

Le son multicanal

Les studios Walt Disney ont été les premiers à présenter un nouveau concept d’écoute cinématographique. On l’appelait « son stéréophonique » ou « son multicanal », et on l’a développé parce que des producteurs désiraient que les cinéphiles entendent la musique d’une nouvelle façon.

Espoir renouvelé

En décembre 2013, on a diagnostiqué un cancer du sein à la directrice de louange australienne Darlene Zschech lors d’une mammographie de routine. Dans la tourmente des émotions, des rendez-vous avec les spécialistes, des scintigraphies et des chirurgies qui ont suivi, elle a recherché d’instinct l’espoir dans la Parole de Dieu, en particulier dans les Psaumes. En janvier 2014, elle a publié ceci sur Twitter : « Le Psaume 91 dans n’importe quelle version ; Dieu est si bon pour nous tous, accrochez-vous à sa Parole et vous trouverez un espoir qui ne déçoit jamais. »

Des paroles encourageantes

Dans le film Sauvons M. Banks, l’auteur Pamela Lyndon (P. L.) Travers accepte à contrecoeur que Walt Disney porte son personnage bien-aimé Mary Poppins au grand écran. De profondes blessures émotionnelles font de P. L. une femme dominatrice et acariâtre, et transforment l’adaptation cinématographique de Mary Poppins en entreprise pénible pour tous ceux qui participent à sa production. À la différence de son personnage littéraire qui peut s’envoler par magie, Travers, prisonnière de pensées et de souvenirs amers, empêche presque l’adaptation de Mary Poppins de décoller.

Sans regrets

Selon vous, quels sont les cinq principaux regrets des mourants ? Une infirmière en soins palliatifs a dressé la liste de ses trouvailles dans un livre. Les voici :

Lapereaux

Notre fils de six ans ne vit que par le credo suivant : ne jamais, au grand jamais, s’ennuyer !